Ses provocations verbales ont construit une partie de sa légende. Découvrez les meilleures punchlines de Zlatan Ibrahimovic.
Zlatan Ibrahimovic est réputé pour son talent balle au pied, pour ses buts spectaculaires, pour sa carrière hors normes… Mais le Benjamin Button du football, comme il aime à se surnommer en référence à sa longévité sur le circuit et sa capacité à se maintenir au plus haut niveau malgré les années qui passent, est aussi très connu pour ses déclarations fracassantes dès qu’un micro se tend vers lui. Une habitude qu’il a prise très tôt dans sa carrière.
La punchline est une seconde nature pour le Suédois qui n’a peur de rien ni de personne et ne place rien au-dessus de lui. Même pas Dieu. Avec évidemment souvent une bonne dose de second degré. L’attaquant passé par Malmö, l’Ajax Amsterdam, la Juventus Turin, l’Inter Milan, le FC Barcelone, le Paris Saint-Germain, Manchester United, Los Angeles Galaxy et l’AC Milan a joué à fond la carte des déclarations arrogantes et provocatrices pour construire sa légende. Découvrez les meilleures punchlines de Zlatan Ibrahimovic !
Le TOP des punchlines de Zlatan Ibrahimovic :
Sur la Covid :
« J’ai été testé négatif au Covid hier et positif aujourd’hui. Je n’ai aucun symptôme ou quoi que ce soit. Le Covid a eu le courage de me défier. Mauvaise idée. »
Ibrahimovic veut renommer les buts en Zlatan :
« Quand je vais prendre ma retraite, les buts devraient être nommés des Zlatan. Par exemple: Pelé a marqué 1000 Zlatan à son époque, mais la moitié de ses Zlatan étaient hors-jeu, ou alors, Leo Messi a marqué un merveilleux Zlatan. »
Sur la Ligue 1 :
« Je ne connais pas bien la Ligue 1. Mais la Ligue 1 sait qui je suis… (…) Je vais habiter dans la Tour Eiffel et me rendre aux entraînements en parachute. »
Sur les supporters du PSG :
« Nous gagnons, nous perdons et ils sifflent. Peut-être qu’ils avaient l’habitude de manger du caviar avant que nous venions. (…) Ils en demandent beaucoup. C’est étrange au regard de ce qu’ils avaient par le passé. Parce qu’avant, ils n’avaient rien. »
Sur l’arbitrage en Ligue 1 :
« Cela fait quinze ans que je joue au foot et je n’ai jamais vu un arbitre aussi nul dans ce pays de merde. Ce pays ne mérite pas le PSG. »
A son départ du PSG :
« Je suis arrivé comme un roi, je pars comme une légende. »
Sur le football en Suède et en France :
« J’ai placé la Suède sur la carte du football mondial. Je l’ai fait aussi pour la France. J’en suis ravi. »
Sur François Hollande (alors président de la République) :
« Je pense que soit vous êtes populaire, soit vous ne l’êtes pas. L’important est d’être soi-même et moi je suis moi-même. Mais je ne peux pas parler pour lui, puisque je ne le connais pas. Je peux le rendre populaire, si je veux. Mais je ne sais pas si j’en ai envie. »
Sur le Ballon d’Or :
« Je n’ai pas besoin d’un Ballon d’Or pour savoir que je suis le meilleur. »
Sur Stéphane Henchoz, ex-défenseur de Liverpool :
« D’abord je suis allé à gauche, lui aussi. Puis je suis allé à droite, lui aussi. Puis je suis retourné à gauche, et là, il est allé s’acheter un hot dog ! »
Sur Arsène Wenger :
« Il ne m’a fait aucune proposition sérieuse. C’était plus : « Je veux voir si tu es vraiment bon, quel genre de joueur tu es. Fais un essai ». Je n’arrivais pas à y croire et j’ai dit : pas question. Zlatan ne passe pas d’audition. »
Sur John Carew :
« Ce que John Carew fait avec un ballon, je le fais avec une orange. »
A un journaliste qui lui demandait pourquoi il avait des griffures :
« Je ne sais pas, demande à ta femme… »
A son arrivée à Malmö :
« Retenez bien mon nom et mon visage. Je m’appelle Zlatan Ibrahimovic et je vais devenir le meilleur joueur du foot du monde ! »
Aux joueurs de Malmö :
« Moi, je suis Zlatan, et vous, vous êtes qui putain les gars ? »
A une journaliste espagnole, à propos de sa relation avec Gerard Piqué :
« Viens chez moi et tu verras si je suis homosexuel. Et ramène ta sœur aussi ! »
A Pep Guardiola :
« Tu n’as pas de couilles. Tu te chies dessus devant Mourinho, va te faire enculer ! »
Sur sa femme :
« Le cadeau d’anniversaire de ma femme ? Rien, elle a déjà Zlatan. »
Sur les Etats-Unis :
« Vous êtes chanceux que je ne sois pas venu dix ans plus tôt, sinon je serais déjà président ! »
Aux supporters du Los Angeles Galaxy :
« Je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu. (…) Vous vouliez Zlatan, je vous ai donné Zlatan. Il n’y a pas de quoi. L’histoire continue… Et maintenant, retournez voir du baseball. »
A son retour en équipe nationale de Suède :
« Le retour de Dieu. »
Après un gros match avec l’AC Milan :
« Et maintenant vous pensez que je suis fini ? A vous tous, je n’ai qu’une chose à dire : je ne suis pas comme vous parce que je ne suis pas vous. Je suis Zlatan Ibrahimovic. Je ne fais que m’échauffer. »
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