Courtisé par le PSG et le Real Madrid notamment, le jeune milieu de terrain rennais Eduardo Camavinga a les idées claires.
Depuis son éclosion en début de saison, Eduardo Camavinga est suivi de près par plusieurs grands clubs européens, comme le Borussia Dortmund, mais aussi le Paris Saint-Germain et le Real Madrid. A deux ans du terme de son contrat, le milieu de terrain de 17 ans se trouve face à un choix : franchir le pas dès cet été ou poursuivre sa progression en Bretagne une saison de plus. La qualification pour la prochaine Ligue des Champions pourrait être un atout pour le retenir. En attendant d’en savoir plus, son choix serait déjà fait entre ses prétendants.
Camavinga, « du 50-50 entre Rennes et le Real »
« Pour Camavinga, ça ne se joue pas entre le PSG, le Real et Rennes. Aujourd’hui, c’est du 50-50 entre rester une saison de plus au Stade Rennais ou rejoindre le Real Madrid dès cet été. C’est très clair pour lui. Il ira au Real Madrid quand il quittera Rennes. La question est maintenant de savoir quand il va y aller », a annoncé le journaliste de Ouest-France, Benjamin Idrac à la radio espagnole Onda Cero.
« Il lui reste deux ans de contrat à Rennes. Pour rester à Rennes, il devra prolonger son contrat cet été et cela veut dire une négociation, un salaire augmenté. Pour le moment, la négociation est bloquée », a-t-il précisé., avant d’insister sur le désir d’Eduardo Camavinga. « Oui, c’est très clair. C’est un désir du joueur et de sa famille. Son futur est au Real Madrid. C’est très clair pour lui. La seule chose est de savoir quand il va y aller », a-t-il clairement affirmé. Le jeune Rennais sera-t-il capable de s’intégrer chez les Merengue ?
« Pour avoir parlé plusieurs fois avec lui, il est prêt. C’est un garçon qui n’aura aucun problème d’intégration car il est humble, simple, accessible et a toujours le sourire. Il n’a rien à voir avec un Anelka ou un Nasri. Il a une autre éducation, une autre construction personnelle, une autre maturité et je le vois capable de s’intégrer dans un vestiaire top comme celui du Real Madrid ou de la sélection française », a jugé Benjamin Idrac.
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